• La forêt... Elle était magnifique... L'été, son ombre protéger du soleil et de sa chaleur ambiante.. L'automne, ses feuillus perdaient leurs feuille, laissant place auxarbres epineux gardant leurs épines dignement. L'hiver, la neige recouvrait le paysage doucement. Sa blancheur se mélangée lentements avec la couleur vert foncé des sapins, ce qui était un spectacle sublimissime. Lorsque le primptemps arrivait avec son beau parfum de verdure et se belles fleurs, les feuillus reprenait le belle couleurs se glissant entres leurs ainés, les sapins. Les animaux courait sur les branches cassées, se qui faisait des petit craquement, rythmant le chant des oiseaux.

    Tout au long de l'année la forêt était magnifique...

    Néanmoins, l'esprit de la forêt ne pouvait plus avoir un soufle pur.. La polution prenait le dessus d'années en années... De jours en jours elle avait peur pour elle ainci que tout les arbres du monde... Peur de la déforestation.. Elle sait qu'un jour, les hommes n'aurait plus d'arbres a coupés.. Ce jours la, les animaux aurait disparue de la surface de la terre.. Les Hommes n'aurait plus rien, ce jour la ils aurait compris enfin qu'il s'était auti-détruit en la détruisant, elle est toute les autres forêts des quatres cion du monde... Mais comment faire comprendre aux Hommes maintenant, tans qu'il n'est pas trop tard. Comment leur faire comprendre les choses quand on n'est qu'un arbre parmie des milliers dans une forêt?

    Aujourd'hui la forêt attend le jour de sa destruction.. Elle èspère qu'il n'arrivera jamais, malgré qu'elle sache que ce jour arrivera bien plus tôt qu'elle ne le pence...

     

     

                                                                        Amandine


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  • Je n'arrive pas a exprimer comment la mort peut être devastatrice...

    Un matin, venant de me lever, je descendait dans la cuisine pour dejeuner malgré que je n'eusse pas faim. Et la mon père m'a annocé ta mort... J'ai levée la tête, puis dit un "A bon?" que je ne penssait pas... Une fois seule, enfermée dans la salle de bain, devant le mirroir, j'ai craquée.. Tout s'écroulé. Je te connaisser peut, mais t'aimer beaucoup au plus profond de moi... Ou est tu maintenant? Que reste t'il de toi? A part un corps enterée dans un trou? Ou est ton âme? Parfois, au collège lors de mes absences, j'oublie d'écouter le cours, pence a des milleirs de choses... Et parfois ton image reviend. Ton sourire... Un homme heureux, malgré qu'il soit immobilisé, en fauteuil roulant. Dans ces moments la j'ai l'impression que tu regarde le monde, que tu es la, que tu veille sur nous ta famille..  Sur ta petite fille, ta fille, ton fils... Tu n'était que mon grand oncle, mais il y a un vide maintenant...

    J'èspère juste qu'aujourd'hui, tu vis dans un monde meilleur que le mien... Que tu sais a nouveaux marcher...  Reste en paix..♥

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    Tellement de gens partent trop tôt... Parents, ami(e)s, frères et soeur... Sucides, accidents de voiture, maldies graves... Chaque jour la mort frappe a la porte de millier de familles..

    Tant de personnes souffre en silence, cherchant un moyens d'oublier, de faire leur deuil, se qui semble impossible... Tout s'envole avec la mort.. L'amour, la colère, la haine... Vidée de tout sentiments... Je pence a toute ces personnes, qui reste piégé dans le passé, sans oublier les êtres qui leur étaient chers...

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                                                                                        R.I.P

      Amandine                            


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  • Une ombre surgit du néant. Une silhouette apeurée, tournant la tête à droite, puis a gauche, en finissant par s'enfuir dans l'obscurité. Ses talons claquent sur la neige glacée. Ses cheveux s'échappent de sa capuche et volent tels de méches folles, dans son dos. Les pans de sa cape sont secoués par le vent. Seule..

    Ou court-elle? Le sait t'elle?

    Elle cherche. Pendant des années, elle parcourt la terre entière. Du vieux Paris et ses beaux jardins à Londres et son ciel gris. De rome et ses monuments d'un autre temps à Los Angeles et son délire ambiant. De l'Inde et ses marchés colorés à Bali et ses éléphants. Pendant toutes ces années d'insinifiance, elle a tout vu. Les guerres et les inventions. Les colinisations, les rois, les reines... Elle a tout connue. La famine, la misére la pauvreté... L'évolution des gens. Et elle rit intérieurement, elle rit de ce monde si changeant. Les gens sont tellment préssés de vivre. Ils ont si peur de s'éteindre.

    Elle n'a pas peur. Pas ici. Le vrai danger ne viend pas de là.

    Elle ne suporte plus son reflet. Fenêtres et rivières, miroirs et flaques. Elle les évite. Que verait-elle sinon un visage inondé mainte fois par la tristesse, marqué par la mélancolie, le desespoir et la colère? Les sombres cernes sous ses yeux clairs? Les traces de ses larmes? La flamme de la vengance au fond de son regard? Elle doit le savoir sans doute. Elle ne peut plus.. Elle ne veut plus afronter ses propres traits qui lui rappellent ceux qui lui ont donnée la vie..

    Ne plus y penser. Continuer. Avancer. Faire face. Droite et fière. Mais fière de quoi?

    Dire stop. Ne plus douter.

    Elle poursuit lentement sa course silencieuse autour du monde.

                                        Amandine


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  • Sur le coup, on ne se rend pas forcément compte qu'on est victime d'harcèlement...

    Au début, on se dit, on nous dit, que ça passera, que ce n'est qu'un mauvais moment à vivre, que les gens finiront par se lasser... Mais ça ne s'arrête pas tant qu'on ne fait rien... Quelle que soit la raison pour qu'ils nous emmerdent, ça ne s'arrête pas si on reste là les bras croisés.

    On croit que c'est fini, ça fait des semaines voir des mois qu'on a plus entendu parler d'eux, on pense qu'ils sont partis, et ils refont surface juste au moment où on s'y attend le moins... 
    Alors on encaisse, comme on sait si bien le faire...

    C'est dans ces  moments qu'on différencie les vrais amis des personnes hypocrites.
    "Les faux amis sont comme les ombres ; ils te suivent dans la lumière mais te laissent de côté dès qu'aparraît la noirceur."
    Ces personnes qui préfèrent se ranger du côté des "plus forts" plutôt que du notre...

    Au final, on est tous complices. Nombreuses sont les personnes se faisant harceler par des crétins pour leur taille, leur poids, leurs idéologies, ou même leurs actes, tout simplement pour leur différence, mais nous ne valons pas mieux que ces crétins en restant là à les regarder faire.

    Le choc est terrible quand on voit tous ceux qu'on croyait être nos amis se ranger de l'autre côté. Les vrais amis se résument à seulement une poignée de personnes...

    On nous menace...on nous insulte, via les résaux sociaux comme Facebook, Msn, Twitter...on nous frappe...tout le monde le sait et personne ne dis rien...ils les encouragent presque...
    On se sent rejetté(e), on a envie que tout ça s'arrête, on a envie d'en finir, on en arrive même à se dire que tout ça est de notre faute... On pleure, on crie, on se mutile, on tente de se suicider, on y arrive parfois...

    Un beau jour, la personne "meneuse du groupe" s'en va. On ne sait pas où mais on s'en fou, l'essentiel c'est qu'elle s'en aille...
    Bizarement, toutes les personnes qui nous avaient laissé tomber se remettent à nous parler, comme si de rien n'était, comme s'il ne s'était jamais rien passé...
    Pitoyable...
    On essaie de reconstruire "sa vie" car toute cette histoire nous a littéralement anéanti... C'est dur parce qu'on n'a plus le goût à rien... Mais on peut y arriver...ou pas...
    Quoi qu'il en soit, quand (si) on y arrive, celui ou celle qui nous a pourri l'existence réapparaît... A cet instant, deux possibilité s'offfrent à nous. Retomber dans cette machine infernale qu'est le harcèlement ou affronter ce ou cette conne et faire face...

    Le harcèlement est puni par la loi. Une étude prouve qu'un collégien sur dix en est victime. Alors parlez-en, n'ayez pas peur, vous n'êtes pas en tord !

    Diane


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