• J'ai découvert une citations l'autre jour, qui m'a énormément plus. Il faut se battre, toujours se battre... En un mot VIVRE.

     

    "La vie, ce n'est pas d'attendre que les orages passent, c'est d'apprendre comment danser sous la pluie"

    - Sénèque -

    Homme politique et philosophe Romain 

     

    Amandine

     

     


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  • Salut tout l'monde....

    J'reviens, du moins j'essaie de revenir après cette absence d'un mois et sûrement plus. Je suis désolée, mais j'y arrive plus vraiment, à écrire. Et, j'sais même pas pourquoi je m'excuse pour ça. C'est juste que j'aimerai pouvoir dire "Désolée, je bosse, donc je laisse le blog..." Mais ça serait faux. J'suis juste perdue. Et c'est pas la première fois. Non. C'est juste différent des autres fois. Je retrouve un peu d'inspiration ces derniers jours. Et peut être qu'en écrivant cela, un texte me viendra en tête. Des mots. Juste des mots. Et c'est beau les mots. On se rend pas compte comment tout peut être magnifique.

     

     Amandine

     


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  • Elle dansait sous la pluie. Sans rien guidant ses pas. Elle n'était pas l'un de ces pantins à qui l'ont tire les ficelles. Et même sa pensée ne semblait rien contrôler. 

    Le sol boueux l'handicapait dans cette valse, le vent menaçait de la faire tomber à chaque enjambée. Mais elle continuait de danser, comme si c'était la dernière chose qu'il lui restait avec cette mince lueur d'espoir qui brûlait encore dans le feu de son regard. Entre chaque mouvement, le souvenir douloureux de l'homme qu'elle avait aimé cernait son visage de larmes. 

     

    Lors d'une danse. C'est comme ça qu'elle l'avait rencontré. Lorsque le feu qui animait son regard était bel et bien vivant. Lui, il avait un air torturé, et elle voulait l'aider. 

    Il étais doux, gentil, calme. Elle aimait se rappeler des premières fois où il l'avait enlacé de ses bras forts et rassurants. Elle entendait encore les mots qui lui glissait à l'oreille. Il était froid, dur, agressif. Il ne l'avait frappé qu'une fois. Mais la douleur d'une simple gifle n'était rien devant le reste. Elle avait été un de ces pantin, son pantin. Il avait joué avec elle comme on joue une symphonie, il l'avait détruite et elle n'étais plus qu'une mélodie brisée à présent. Il lui avait pourtant dit "Pars, Laisse moi" plusieurs fois. Elle étais toujours restée. Elle le prenait toujours dans ses bras quand il pleurait. Et se retenait de craquée en le regardant se briser les doigts avec une violence sans égale lorsqu'il touchait son piano. Même sans jouer, juste en éfleurant les touches on pouvait lire sa souffrance sur son visage.

     

    La pluie tombait toujours. Elle dansait encore, et chaque seconde dévoilait une nouvelle ondulation de son corps frêle. Chaque goutte d'eau lui rappelait  comment elle l'avait aimé, malgré cette double personnalité, malgré cette souffrance dont ni l'un ni l'autre connaissait l'origine. 

    Et la voila qui dansait. Seule maintenant. Il n'étais plus la pour l’accompagner. Un matin il n'a pas ouvert les yeux. Elle l'a regardé et a chuchoté " J’appréhendais aujourd'hui tous les matins avant de voir tes yeux s'ouvrir. Il étaient déjà éteints, mais m'éclairaient assez. Je t'aime. Le soir même elle décida de ne plus jamais se réveiller. Alors elle partit danser sous la pluie. 

     

    Soudain elle tomba. La pluie avait fait place à la neige. C'est dans un corps gelé qu'elle s'endormie. Ses yeux avaient pris la couleur des cendres. Elle ne les ouvra plus jamais.

     

     

    Amandine

     

     


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  • J'étais partis en ravalant mes larmes... Ouais. Cette vallée, ces forêts, ces bâtiments, ce mélange de couleur qui m'avaient vu grandir depuis mes 8 ans. Grandir pendant 7 ans. Quelques grains de sable dans une plage, quelques brins d'herbe dans un pré, comme sept ans lors d'une vie. Mais une poignée d'année laisse de grosses marques. Je suis revenue avec le sourire avec elle. Et cette fois repartis avec certes un pincement au coeur de la quitter, mais en paix avec moi même et ces 7 année.

     

    Mais les blessures les plus profondes remontent peut être à un passé plus lointain, effacé...

    J'aurai aimé vous dire que nous avons plusieurs vies et qu'elle expliqueraient rêves et visions, souvenirs impossibles et illusions. 

     

    Amandine


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  • "La religion c'est l'opium du peuple"

    - Karl Marx -

     

    (L'opium provoque la somnolence...) Je pense qu'on pourrait longuement débattre sur cette phrase.. En tout cas cette dernière reflète une partie de ce que je pense. 

     

    Amandine

    Qui rappelle que malgré sa pensée, respecte tout culte, et croyances.


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